Être écrivain public, c’est un mélange de timidité et de désir d’ouverture à l’autre. C’est l’audace d’écrire pour les autres et la simplicité de ne pas signer. C’est offrir ses talents d’écriture, mais aussi un regard extérieur, professionnel sur vos propres écrits pour vous permettre de mieux communiquer et faire éclore votre créativité ; c’est aussi et beaucoup, promouvoir notre si belle langue et la faire aimer.

Mon parcours professionnel

Dès ma plus tendre enfance, j’ai été bercée par les mots grâce à un père, professeur de lettre, grand amoureux de poésie et de littérature françaises. Adolescente, c’est encore un enseignant de français qui m’a fait aimer la grammaire et découvrir la science-fiction et la bande dessinée : ces formes d’écriture constituaient pour moi une grande nouveauté qui m’a plongée dans un véritable conflit de loyauté avec mon père, si strict et si académique dans ses goûts littéraires ! C’est dire combien la langue française m’a toujours passionnée.

Sortie de l’Université diplômée en sciences économiques, je me suis tournée vers le journalisme, formée par mes pairs avec qui j’ai acquis une grande maîtrise de la rédaction et des règles typographiques. De toutes ces années, j’ai retenu deux choses essentielles. En premier lieu, j’ai appris à écouter et à prendre des notes : sans cela, il n’y avait pas d’articles. Quelle que soit l’activité que j’ai exercée plus tard, j’ai toujours eu sous la main mon stylo et mon bloc-notes. C’est bien sûr encore le cas aujourd’hui quoique le bloc note soit remplacé par un ordinateur portable ! La deuxième chose déterminante fut de comprendre que je n’écrivais pas pour moi ni pour me faire plaisir : j’écrivais pour être lue ! Cela demande une très grande discipline bien que cela ne paraisse pas. Les retours que vous aurez sur mes prestations seront édifiants. Vos lecteurs se retrouveront dans les récits, les courriers, les discours… ils seront captivés par leur lecture et remplis d’émotions.

Du journalisme à l’urbanisme, il n’y a eu qu’un pas : je l’ai franchi dans le cadre de divers postes occupés à Montpellier puis à Toulouse. En tant qu’écrivain public aujourd’hui, je mets à votre service cette grande expérience de l’administration qui me permet d’en connaître parfaitement les rouages y compris dans ses dernières évolutions liées à la dématérialisation des services.

Francoise Cornille, écrivain public, scribe, Cheminparchemin

Et pour mieux me connaître !
Je suis agréée par l’Académie des écrivains publics de France (AEPF). Cet agrément atteste de mes compétences d’écrivain public. En entrant à l’AEPF, je m’engage à respecter la charte déontologique qui régit notre métier.  De plus, je bénéficie de l’expérience de mes confrères et de formations régulières qui me permettront de vous proposer une qualité et une diversité de prestations accrues.
Pour consulter la charte déontologique de l’AEPF : cliquez  ici.

Un métier, des formations

Je suis également membre du Syndicat national des prestataires et conseils en écriture (SNPCE) qui œuvre au développement et la reconnaissance du métier d’écrivain public. Le syndicat est également un lieu de formation et d’entraide professionnelle.
Pour consulter le code éthique du SNPCE : cliquez ici 

J’ai choisi un logo tout doux qui inspire confiance et je voudrais ici remercier sa créatrice, Clémence Joly. Le logo est constitué de plusieurs plumes légèrement colorées, évoquant bien sûr le travail d’écrivain public mais aussi l’écoute, la joie, la diversité. Il a été dessiné par Clémence Joly, jeune femme créative, passionnée de peinture et de sculpture. Appelée sans aucun doute à se faire un nom dans le monde de l’art.
Merci également à Christophe Paupard, photographe de talent et webmaster ingénieux pour son aide précieuse.